Accueil > Culture > La Garde blanche au cinéma dès le 26 avril

La Garde blanche au cinéma dès le 26 avril

Imprimer cette nouvelle Imprimer cette nouvelle

(Alexandre D’Astous)-FunFilm et Metafilms présentent le long métrage documentaire La Garde blanche, qui dévoile le régime de terreur mexicain créé par les entreprises transnationales et leurs mercenaires imposant le silence.

Chaleureusement accueilli du public et de la critique, le film écrit et réalisé par Julien Elie (Soleils noirs) prendra l’affiche dès le 26 avril à Montréal (Cinéma Beaubien, Cinémathèque québécoise, Cinéma du Musée, Cinéma Public) et à Québec (Cinéma Le Clap Ste-Foy).

Tournée des festivals

La Garde blanche a été projeté en première mondiale à Filmfest Hamburg, puis à Doclisboa, à DocsMX et aux Rencontres internationales du documentaire de Montréal (RIDM) où il a remporté le Prix Magnus-Isacsson et le Prix du jury étudiant. Il poursuit sa tournée en festivals et sera présenté à Vues sur mer le vendredi 5 avril à 21 h 30 au Centre de Création Diffusion de Gaspé et au Festival cinéma du monde de Sherbrooke (FCMS) le dimanche 14 avril à 18 h à La Maison du Cinéma. Il sera également projeté au Festival du film documentaire DOXA à Vancouver le vendredi 10 mai à 20 h 20 à la Cinémathèque, en compétition pour le Prix Colin-Low de la meilleure réalisation canadienne.

Le film est en nomination aux Prix Écrans canadiens 2024, dans les catégories meilleure direction photographique dans un long métrage documentaire (Ernesto Pardo) et meilleure conception sonore dans un long métrage documentaire (Hans Laitres, Sylvain Bellemare, Daniel Capeille).

Synopsis

Au Mexique, sous les cendres et la poussière, le paysage s’efface. On dépèce, on entaille, on brûle. Derrière des frontières de barbelés, les forêts, les fleuves et la montagne tombent aux mains d’entreprises privées. Le territoire transformé devient un univers parallèle, un lieu incongru et risqué. Ici, les nouveaux maîtres et leurs mercenaires imposent le silence et la terreur. Roberto de la Rosa comme d’autres paysans aux quatre coins du pays emprunte maintenant des chemins piégés. Ces dernières années, c’est au Mexique qu’on assassinait le plus grand nombre de défenseurs de la terre.

Share
You may also like
Un grand reportage sur le Mékong présenté au Cinéma Lido Rimouski
Éviction en salle dès le 17 mai
Lauréats du Prix collégial du cinéma québécois
Trois nouveautés en avril sur onf.ca