Photo: Le directeur général de la Caisse Desjardins de l’Héritage-des-Basques, Roberto Dionne, et la directrice de l’École secondaire de Trois-Pistoles, Édith Morin.
La Caisse Desjardins de l’Héritage-des-Basques appuie le développement de la concentration Hockey féminin-études à l’École secondaire de Trois-Pistoles. Une contribution de 5 000 $ a récemment été consentie afin de soutenir le déploiement de ce programme unique à l’est de Québec.
Pour le directeur général de la Caisse, Roberto Dionne, cette participation démontre l’intérêt de son organisation à l’égard du développement d’initiatives novatrices en éducation dans la MRC des Basques : « La Caisse Desjardins de l’Héritage-des-Basques a toujours été présente pour appuyer les projets mobilisateurs d’ici. La concentration Hockey féminin-études de l’école secondaire de Trois-Pistoles s’inscrit dans cette catégorie. Elle ouvre la porte à l’éclosion de jeunes hockeyeuses d’élite provenant du Bas-Saint-Laurent, de la Gaspésie, des Îles-de-la-Madeleine et de la Côte-Nord et constitue un important facteur de rayonnement pour notre région. Elle leur offre un environnement, un encadrement et un accompagnement idéal dans un milieu éducatif dynamique. Ce projet présente un grand potentiel de rétention et d’attraction pour les jeunes filles de l’Est du Québec. Voilà pourquoi nous nous y associons. »
La directrice de l’École secondaire de Trois-Pistoles, Édith Morin, est pour sa part très heureuse de l’engagement financier de la Caisse Desjardins de l’Héritage-des-Basques: « Le développement d’un projet de cette envergure exige des ressources budgétaires importantes et ne peut se concrétiser sans un appui tangible du milieu. La participation de la Caisse nous aide à consolider notre structure d’encadrement et d’accueil, et à mieux faire connaître notre initiative. La concentration Hockey féminin-études constitue une vitrine unique pour l’École secondaire de Trois-Pistoles. Elle reconnaît notre tradition de hockey et l’expertise développée par nos partenaires. Elle démontre qu’il est possible de former des athlètes de pointe en milieu rural lorsqu’on dispose des infrastructures, des équipements, du personnel et de la volonté pour le faire. Les élèves-athlètes trouvent ici des conditions optimales pour s’épanouir dans un environnement sain. Et nous en sommes très fiers. »